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HISTOIRE GEOGRAPHIE CITOYENNETE

La vie sociale en France - 3e - 2015

20 Juin 2015, 14:35pm

Publié par Sadki

LA VIE SOCIALE EN FRANCE

 

La démocratie sociale repose sur l’engagement des citoyens dans des actions individuelles et collectives. C’est la liberté pour des personnes — citoyens et étrangers –, d’agir, de se réunir et de s’associer, qui est reconnue par la Déclaration universelle des Droits de l’Homme (O.N.U., 1948) et par la Constitution de la Ve République en France (1958). Les citoyens et les étrangers vivant sur le sol français peuvent agir seuls dans tous les domaines de la vie. Mais agir ensemble est souvent plus efficace.

Les associations. La liberté d’association est reconnue en France par la loi du 1er juillet 1901.

Une association est un regroupement de plusieurs personnes qui mettent en commun leurs compétences pour agir ensemble. Elle doit être à but non lucratif (ne pas gagner d’argent), ne pas s’opposer à la République et être signalée à la préfecture ou sous-préfecture, où elle doit déposer ses statuts. Elle repose sur les principes de la solidarité et de l’aide gratuite. La plupart des membres des associations sont des bénévoles, donc non rémunérés. Les plus importantes ont souvent des salariés. Certaines permettent d’employer des personnes, en leur fournissant souvent un emploi rémunéré à temps partiel.

Les associations ont des domaines d’action très variés, par exemple :

- humanitaires et caritatives : défense des droits de l’homme, des minorités, lutte contre la pauvreté, aide à l’enfance... Amnesty International, Médecins sans frontières, Croix Rouge, Restos du Cœur, Secours catholique…

- écologiques et favorable au développement durable : les AMAP (association pour le maintien d’une agriculture paysanne)

- sportives : clubs etc. - culturelles : théâtre...

- religieuses.

Elles peuvent agir par manifestation, pétition, organisation de débats et de meetings, collecte de fonds… 11 millions de bénévoles agissent dans plus d’un million d’associations. Elles complètent l’action de l’État et suppléent aux déficiences de ce dernier (désengagement financier et social croissant de l’État). Beaucoup d’associations se placent sur le terrain traditionnel des syndicats ou des partis politiques.

Les syndicats. La loi de 1884 accorde la liberté syndicale. Auparavant, la loi de 1864 a accordé le droit de grève (cesser le travail sans rémunération).

En France, la liberté de former un syndicat et de faire parti d’un syndicat est reconnue. Un syndicat est une association professionnelle qui réunit des personnes dans le but de défendre les intérêts de ceux qui travaillent et des chômeurs. Il y en a dans la fonction publique et dans beaucoup d’entreprises privées.

Le pluralisme et la diversité syndicales sont de règle chez les employés alors que les chefs d’entreprise sont regroupés dans un seul syndicat dominant.

Normalement détachés de toute allégeance politique, en réalité ils partagent une coloration politique dominante. Exemples de syndicats :

- d’employés : CFTC (Confédération Française des Travailleurs Chrétiens – plutôt à droite), CFDT (Confédération Française Démocratique du Travail – désormais gauche, en partie à droite), CGC (Confédération Générale des Cadres – à droite), FO (Force Ouvrière, gauche et en partie à droite), CGT (Confédération Générale des Travailleurs – gauche)

- de patrons : MEDEF (Mouvement des Entreprises de France – très largement à droite).

Les premiers et les seconds négocient entre eux (« dialogue social ») et face à l’État (salaires, droits, conditions de travail, sécurité au travail, retraites…). En cas de désaccord, le recours à la justice, à la manifestation ou à la grève est une possibilité.

La division des syndicats d’employés, la faiblesse du nombre des syndiqués et de leur ressources posent problème. Le syndicalisme français est un des plus faible, ce qui n’est pas le cas dans des pays équivalents. Le recul du syndicalisme est un danger pour la démocratie et la vie sociale. Par contre, le principal syndicat de patrons, le MEDEF bénéficie de la force de l’union et d’un quasi monopole. Ses ressources sont sans commune mesure avec les premiers et son influence sur la vie politique et la société civile sans égal. De même, il pratique à grande échelle le lobbying.

D’ailleurs, sans faire partie de syndicats, les acteurs privés, financiers et économiques, qui agissent dans le cadre du marché, ont une puissance d’intervention considérable dans la vie sociale : la plupart des relais d’opinion, comme les médias, leurs appartiennent.

Conclusion : les associations et les syndicats sont une expression de la démocratie et favorisent son bon fonctionnement et le lien social.

Manifestation de syndicats et de non syndiqués sur la question de l'enseignement public - Valence (Drôme - France)

Manifestation de syndicats et de non syndiqués sur la question de l'enseignement public - Valence (Drôme - France)

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La vie politique en France - 3e - 2015

20 Juin 2015, 13:55pm

Publié par Sadki

LA VIE POLITIQUE EN FRANCE

 

La vie politique est conditionnée par la constitution de la Ve république, adoptée depuis 1958 : elle fonde le contrat politique entre les citoyens et l’État.

Elle repose sur le partage du pouvoir : le pouvoir exécutif qui propose les lois, le pouvoir législatif qui les vote et l’autorité judiciaire qui veille à leur bonne application.

Le pouvoir exécutif domine la vie politique : il appartient au président de la république (acteur clé autour duquel tourne la vie politique en France en raison de la constitution ; actuellement François Hollande) et au gouvernement. Élu pour 5 ans, le président est le chef de l’État, dispose de grands pouvoirs dans tous les domaines (chef des armées, chef de la diplomatie…) et fixe la politique générale du pays. Il nomme le premier ministre qui conduit sa politique et peut dissoudre l’Assemblée nationale (provoquer de nouvelles élections de députés).

Le gouvernement est composé du premier ministre (actuellement Manuel Valls), qui le dirige et de ministres et secrétaires d’État. Disposant d’un budget et s’appuyant sur l’administration pour mener sa politique, il prend des décisions (ordonnances, décrets, circulaires) et propose des lois au Parlement.

Le pouvoir législatif appartient au Parlement. Son rôle, certes important, est en réalité secondaire. Par crainte et répugnance, les citoyens sont rarement appelés à utiliser ce pouvoir par référendum. Le Parlement est composé de l’Assemblée nationale (577 députés élus pour 5 ans) et du Sénat (348 sénateurs élus pour 6 ans). Le Parlement vote les lois, peut modifier les projets de lois du gouvernement et proposer ses propres lois. L'Assemblée nationale peut renverser le gouvernement (vote d'une motion de censure). Les deux assemblées doivent se mettre d’accord sur un texte identique : le projet peut faire la navette de l’une à l’autre. En cas de désaccord final, les députés décident seuls. Les parlementaires peuvent interpeller le gouvernement tous les mercredis. La loi ne peut s’appliquer que si elle est signée par le président de la république et publiée au journal officiel.

En France, le pouvoir judiciaire est seulement une autorité judiciaire. Son indépendance est incomplète. Il a peu de contrôle sur les deux autres pouvoirs, mais davantage sur l’administration et la société civile. Le président de la république en fonction bénéficie n’est pas justiciable comme les autres citoyens. Le président, en cas de haute trahison, et les membres du gouvernement peuvent être jugés par des tribunaux spéciaux.

Le contrôle des pouvoirs peut être exercé par le Parlement (commissions d’enquêtes parlementaires) et de manière croissante par le Conseil constitutionnel, qui vérifie que les lois et les élections sont conformes à la constitution et aux traités internationaux signés par la France. Le Conseil d’État vérifie par avance les projets de loi du gouvernement et sert de tribunal administratif supérieur, qui défend les droits des citoyens, peut annuler un acte du gouvernement et condamner l’État à indemniser une victime. La Cour des comptes vérifie l’usage de l’argent public.

Les partis politiques animent la vie politique (débats, programmes, campagnes électorales). Leur pluralité est garantie par la constitution. Depuis le début du XXe siècle, ce sont les acteurs majeurs. Les plus grands (Les Républicains et le Parti socialiste) accèdent à la direction du pays et associent parfois de petits partis pour obtenir une majorité de gouvernement. Expression fondamentale de la démocratie, le jeu des partis a un effet pervers antidémocratique : il a tendance à anémier la vie politique, aucun acteur politique ne peut accéder au pouvoir suprême hors des partis et il éloigne les citoyens des décisions. La professionnalisation de la vie politique limite le renouvellement démocratique, favorise les mécontentements et l’abstention. Le marché, les acteurs financiers (banques…) et économiques (chefs d’entreprise) agissent puissamment (lobbying) dans la vie politique et imposent leurs vues aux décideurs politiques, au détriment souvent de la volonté générale des citoyens.

Pour une étude comparée des partis politiques actuels, cliquez sur le lien suivant : http://www.histege.com/2015/06/les-partis-politique-en-france-2012-2015.html

La décentralisation des pouvoirs vers le bas. La république est fortement centralisée : la plupart des décisions se prennent à Paris. La décentralisation (1982 et 2003) transfère une partie des pouvoirs de l’État aux collectivités territoriales (communes, départements, régions et collectivités d’outre-mer). Par exemple, l'enseignement public est ainsi géré, financé et équipé : les communes (mairies) se chargent des écoles primaires, le conseil départemental des collèges et le conseil régional des lycées.

L’intégration européenne vers le haut. Le Conseil européen (chefs d’État et de gouvernement) surtout, la Commission européenne et le Parlement européen jouent un rôle croissant dans la vie du pays et des citoyens. État membre fondateur, la France est soumise aux lois de l’Union européenne (directives), dont certaines sont des avancées démocratiques, qui renforcent les droits des gens. Leur non-application peut entraîner des pénalités financières pour la France. La politique européenne, qui paraît trop lointaine, est contestée par les nationalistes (souverainistes) et les antilibéraux qui refusent la politique économique libérale de l’Union.

Le citoyen a des droits politiques fondamentaux : voter, être candidat (éligibilité) et élu, participer au gouvernement. Il peut manifester ses opinions, agir dans le cadre d’une association et adhérer à un parti politique. Il est aussi citoyen de l’Union européenne. Il peut voter à dates régulières aux différentes élections, à toutes les échelles du pouvoir (de la commune à l’Union européenne). Le citoyen est un acteur essentiel de la démocratie : c’est lui qui l’a fait vivre. Alors qu’il devrait être l’acteur premier et majeur de la vie politique, en réalité, le citoyen n’a pas d’influence directe sur les grandes décisions car la France est une « démocratie représentative » (décisions prises par des élus) et non une démocratie directe (décisions prises par les citoyens eux-mêmes).

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L'opinion publique et les médias - 3e éducation civique

16 Juin 2015, 23:05pm

Publié par histege

L'OPINION PUBLIQUE ET LES MEDIAS

Les médias sont des moyens techniques qui permettent de mettre en relation des producteurs d’informations et le public. Les mass-média s’adressent à un grand nombre de personnes.

Ils suivent les progrès technologiques : la presse écrite, la radio, la télévision et internet dominent tour à tour. Tous coexistent aujourd’hui, mais avec une influence inégale.

La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (1789) et la loi sur la liberté de la presse (1881) fondent la liberté de l’information : c’est un droit de l’homme. Le citoyen a droit à une information libre, pluraliste et fiable pour forger sa propre opinion et faire ses choix.

Les principaux fournisseurs d'informations sont les Etats et les insitutions internationales, les agences de presse (Associated Press, Reuters, Agence France Presse...) et les médias en général, les partis politiques et les associations.

Les médias permettent de contrôler les pouvoirs (on parle de « 4e pouvoir » de fait), de vulgariser les connaissances scientifiques, d’étudier la société et de dénoncer les dérives de la vie sociale. Le travail des médias contribue à forger l’opinion publique. L’opinion publique est la manière de penser la plus répandue dans la population. Elle peut être diverse et juxtaposer plusieurs opinions publiques. L’opinion publique est aussi profondément travaillée par les décideurs politiques (hommes et partis politiques) et économiques (financiers, chefs d’entreprises), les individus et les groupes d’individus (associations, lobbys = groupes de pression qui défendent des intérêts privés…).

Actuellement, la plupart des médias sont privés et une minorité demeurent publics (propriété de l’Etat ou sous sa tutelle). Néanmoins, la plupart des médias ont perdu leur indépendance. Dans le passé, ils étaient soumis au pouvoir politique (arrestations, censure, propagande). Désormais, ils sont soumis aux acteurs économiques et financiers. La plupart des grands médias ont été achetés ou créés par des groupes financiers et des entreprises. Dès lors, l’objectif principal n’est plus la recherche du savoir, de la vérité et la promotion du talent, mais la recherche du profit (vente de produits commerciaux), la promotion du divertissement (sports, spectacles, faits divers, l’« insécurité » , fausse « téléréalité », star-system et presse people qui reposent sur la notoriété) et la pression politique et idéologique dans le sens du libéralisme économique.

La recherche du profit, les animateurs soucieux de garder leur place, la dictature de l’audience font que les médias ont un comportement moutonnier : tous parlent de la même chose et se désintéressent de la qualité de l’information. Le nationalisme, les va-t-en-guerre et le lynchage médiatique sont des risques majeurs. La hiérarchie de l’information est souvent inversée : l’événement futile ou sensationnel prime sur l’étude argumentée. Les médias créent quotidiennement des événements artificiels : une actualité chasse l’autre, pas seulement dans les chaînes d’information continues (BFM TV) souvent anxiogènes. L’actualité réelle, qui fait sens, est souvent reléguée au dernier plan. Les reporters et les journalistes d’investigation se font plus rares face aux commentateurs suspendus au téléphone et à leur écran qui ne sortent pas de leur bureau. La communication (au sens de propagande ou de publicité) brouille l'information réelle. Les faux experts supplantent ceux qui travaillent de longue date avec honnêteté intellectuelle. Les décideurs et les médias manipulent ainsi l’opinion publique, pour que les individus deviennent des acheteurs-consommateurs et des relais capables, notamment lors des élections, de voter dans le sens voulu. Ils font du marketing politique et économique.

La plupart des médias privés ont une politique éditoriale souvent marquée à droite (TF1, M6, Europe 1, RMC qui a en plus des accents populistes poujadistes, NRJ, Fun Radio…, Le Figaro, Le Point, Les Echos…). Canal + tente de tenir une position à la fois commerciale, "jeune", "branchée" et ouverte. Les médias inclinant vers la gauche sont en recul : Le Monde (centriste et libéral), France Inter, Le Nouvel Obs (social-démocrate), Libération (socialiste), L’Humanité (communiste, avec peu d’audience). Les médias publiques tentent de suivre un équilibrisme difficile entre la droite et la gauche (ligne soit centriste, soit gouvernementale qui varie en fonction de la majorité gouvernementale comme France 2, soit plus souvent sociale-démocrate). Ces médias proposent de manière variable ou trop rare des productions utiles. La chaîne franco-allemande ARTE fournit une offre culturelle de qualité (fictions, spectacles, documentaires) et une information sobre et ouverte sur le monde : c’est pourtant une des moins regardées. La radio France Culture prend le temps de traiter de sujets de fond et son journal est souvent documenté et objectif, même si sa rédaction a peu de moyens humains et financiers.

Internet et les réseaux sociaux (Facebook, Twitter…) prennent une place de plus en plus grande. C’est un progrès. Les individus accèdent plus rapidement à l’information. Ils permettent une capacité de réaction et de mobilisation sans précédent, même entre individus qui ne se connaissent pas. Des espaces de libertés, des idées et des créations nouvelles, alternatifs, peuvent ainsi émerger. Mais, les risques sont grands : la liberté est détournée dans un but commercial (les moteurs de recherche comme Google orientent dans ce sens les résultats des recherches), la cybercriminalité se développe, les fausses informations et les rumeurs se propagent, les injures et les attaques se multiplient sous couvert d’un faux anonymat. Car les Etats et les fournisseurs d’accès peuvent briser les liaisons satellitaires et internet, espionner, ficher, vendre ou divulguer les informations sur les usagers. La surveillance généralisée et informatisée est un risque pour les droits de l’homme et la démocratie.

Les sondages sont des études statistiques et sociologiques basées sur un échantillon restreint d’individus (dit « représentatif ») avec pour but de proposer une photographie partielle ou générale de la société. Mais, ce sont toujours des extrapolations. Tous n’ont pas la rigueur scientifique prétendue. Les commanditaires (payeurs) des sondages influencent souvent les résultats finaux. Les « instituts » (terme scientifique généralement usurpé) tendent à se substituer à l’opinion réelle des individus et à parler abusivement au nom des Français : la seule vérité de l’opinion est celle qui résulte d’élections libres, préparées de manière contradictoire.

Les individus et les groupes d’individus doivent être vigilants, user d’esprit critique, se tenir informés, savoir reconnaître les informateurs et les informations fiables, éviter de juger sans examen rigoureux pour penser et agir de manière libre et responsable. L’actualité de qualité et les connaissances scientifiques existent, mais il faut savoir les « dénicher ». C’est la qualité de la lecture qui fait la qualité du jugement.

 

 

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Les partis politiques en France - 2012-2015

10 Juin 2015, 19:25pm

Publié par histege

TABLEAU COMPARATIF DES PARTIS POLITIQUES EN FRANCE

SITUATION EN 2012-2015

 

Programme de 3e : le tableau s'insère dans la séquence intitulée La vie politique (en France).

Tableau valable pour le lycée et l'université (histoire et science politique).

Pour avoir un affichage de meilleure qualité, télécharger le fichier pdf ou le fichier word, en cliquant sur les liens ci-dessous, format pdf ou word.

 

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Les partis politique en France - situation en 2009-2010

10 Juin 2015, 15:26pm

Publié par histege

TABLEAU COMPARATIF DES PRINCIPAUX PARTIS POLITIQUES

EN FRANCE

situation en 2009-2010

 

Programme de 3e : le tableau s'insère dans la séquence intitulée La vie politique (en France).

Tableau valable pour le lycée et l'université (histoire et science politique).

 

Pour avoir un affichage de meilleure qualité, télécharger le fichier pdf ou le fichier word, en cliquant sur les liens ci-dessous, format pdf ou word.

 

 

 

Tableau comparatif des principaux partis en France en 2009-2010 : histoire, idéologies, idées, programmes et courants politiques, figures historiques et actuelles

Tableau comparatif des principaux partis en France en 2009-2010 : histoire, idéologies, idées, programmes et courants politiques, figures historiques et actuelles

Tableau comparatif des principaux partis en France en 2009-2010 : histoire, idéologies, idées, programmes et courants politiques, figures historiques et actuelles

Tableau comparatif des principaux partis en France en 2009-2010 : histoire, idéologies, idées, programmes et courants politiques, figures historiques et actuelles

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Carte - organisation du territoire français

1 Juin 2015, 19:01pm

Publié par histege

Carte - organisation du territoire français

Pour les 3e 6

Carte d'organisation du territoire français : à reproduire sur le fond de carte distribué, en respectant les symboles et les couleurs. Il faut ensuite l'apprendre.

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